BIENVENUE SUR LE SITE DE L'ASSOCIATION AYSE DANCE TRIBAL & ORIENTAL
L'association " Ayşé Dance Tribal & Oriental " est née en Juin 2010 par Ayşé Aydin.
L'objectif de l'association est de développer et promouvoir la danse Tribal Fusion, Oriental & Gypsy, à l'aide de :
* Cours de danse
* Rencontres Culturelles
* Organisations de spectacles, festivals et stages en France et à l'étranger ( Espagne, Allemagne, États-Unis.....)
* Ateliers de création de Costumes unique
* Sorties
Nous comptons sur vous pour vivre de grands moments de partage autours de la danse !!!!!!!
_________________________
L'objectif de l'association est de développer et promouvoir la danse Tribal Fusion, Oriental & Gypsy, à l'aide de :
* Cours de danse
* Rencontres Culturelles
* Organisations de spectacles, festivals et stages en France et à l'étranger ( Espagne, Allemagne, États-Unis.....)
* Ateliers de création de Costumes unique
* Sorties
Nous comptons sur vous pour vivre de grands moments de partage autours de la danse !!!!!!!
_________________________
Origine de la danse Tribal Fusion.
_
Description :
La danse " tribal fusion " s'appuie globalement sur des caractéristiques de l'American Tribal Style Belly Dance ( où danse tribale américaine ), dont elle est majoritairement issue. Comme elle, elle puise dans des motifs et techniques de différentes danses traditionnelles et contemporaines comme le flamenco, le kathak, le Bharata Natyam et le breakdance.
Mais là où le style tribal ATS se base sur l'improvisation et la notion de groupe, la danse "tribal fusion" est, elle, chorégraphiée et peut se pratiquer en solo.
Les costumes de danse sont généralement faits à la main selon le goût de chaque danseuse.
Sur la trace des Tziganes :
Dans les villages égyptiens, on appelle une danseuse professionnelle une ghaziya ( au pluriel, ghawazi ). A l'origine, les ghawazi étaient des tziganes. C'est maintenant un terme générique qui désigne les danseuses en général, et non plus une tribu particulière ou des tribus comme autrefois. Le rôle important qu'ont joué les tziganes dans l'évolution des danses profanes se retrouve dans la langue turque où le vieux terme de danseuse ( cengi ) vient de cingene ( tzigane ).
En égyptien, ghawazi signifie envahisseur ou étranger, et il est vrai que les tziganes ont toujours vécu à la périphérie des villes et en marge de la société. Danse orientale
La danse orientale est traditionnellement dansée par les femmes, qui expriment par cet art leur féminité, leur vitalité, mais aussi leurs sentiments, joies et peines. Il en existe plusieurs styles, dépendant du pays d'origine, et aussi de multiples fusions émergentes notamment le style tribal. De façon générale, cette danse se caractérise par la dissociation des parties du corps ( isolations ) qui peuvent bouger indépendamment l'une de l'autre. Cet art compose aussi bien avec les rythmes saccadés que lents et fluides.
La pratique de la danse orientale, qui nous vient du Moyen-Orient, a fait son entrée en Europe et en Amérique dans les cabarets au milieu des années 1930 et années 1940, d'où est issu l'étincelant costume deux pièces brodé de pierres et de paillettes. Depuis ce temps, mais surtout depuis les années 1990, cette danse connait un essor fulgurant partout dans le monde. En France, Sandra de Nice est une des premières à avoir codifié la danse orientale sous forme de répertoires.
Contrairement à ce que l'on peut penser, la danse orientale ne se limite pas à des mouvements du bassin. En effet, elle sollicite souplesse et tonicité du buste, des épaules, des bras, des mains, du bassin et du ventre. Elle permet de tonifier les cuisses, d'assouplir les articulations, de bien développer les abdominaux et d'entretenir le dos. Certains mouvements amples demandent une souplesse extrême du dos mais l'essentiel réside dans la contraction musculaire, si bien qu'on peut pratiquer cette danse à tout âge en fonction des limites de chaque danseuse La danse orientale ( le terme danse du ventre est réducteur car en réalité tout le corps travaille ) ou baladi ( terme utilisé chez les canadiens-français ) est une danse originaire du Moyen-Orient et des pays arabes, dansée essentiellement par des femmes, mais aussi, de plus en plus dansée par des hommes à travers le monde.
En arabe, elle est appelée Raqs al sharqi ( littéralement :danse orientale ) et en turc Oryantal dansı, qui a donné le terme de danse orientale. Elle est reconnue comme l'une des plus anciennes danses du monde surtout dans les pays du Moyen-Orient ( Liban , Égypte , Turquie , Syrie, Irak ) et du Maghreb ( Tunisie, Maroc, Algérie )
Description :
La danse " tribal fusion " s'appuie globalement sur des caractéristiques de l'American Tribal Style Belly Dance ( où danse tribale américaine ), dont elle est majoritairement issue. Comme elle, elle puise dans des motifs et techniques de différentes danses traditionnelles et contemporaines comme le flamenco, le kathak, le Bharata Natyam et le breakdance.
Mais là où le style tribal ATS se base sur l'improvisation et la notion de groupe, la danse "tribal fusion" est, elle, chorégraphiée et peut se pratiquer en solo.
Les costumes de danse sont généralement faits à la main selon le goût de chaque danseuse.
Sur la trace des Tziganes :
Dans les villages égyptiens, on appelle une danseuse professionnelle une ghaziya ( au pluriel, ghawazi ). A l'origine, les ghawazi étaient des tziganes. C'est maintenant un terme générique qui désigne les danseuses en général, et non plus une tribu particulière ou des tribus comme autrefois. Le rôle important qu'ont joué les tziganes dans l'évolution des danses profanes se retrouve dans la langue turque où le vieux terme de danseuse ( cengi ) vient de cingene ( tzigane ).
En égyptien, ghawazi signifie envahisseur ou étranger, et il est vrai que les tziganes ont toujours vécu à la périphérie des villes et en marge de la société. Danse orientale
La danse orientale est traditionnellement dansée par les femmes, qui expriment par cet art leur féminité, leur vitalité, mais aussi leurs sentiments, joies et peines. Il en existe plusieurs styles, dépendant du pays d'origine, et aussi de multiples fusions émergentes notamment le style tribal. De façon générale, cette danse se caractérise par la dissociation des parties du corps ( isolations ) qui peuvent bouger indépendamment l'une de l'autre. Cet art compose aussi bien avec les rythmes saccadés que lents et fluides.
La pratique de la danse orientale, qui nous vient du Moyen-Orient, a fait son entrée en Europe et en Amérique dans les cabarets au milieu des années 1930 et années 1940, d'où est issu l'étincelant costume deux pièces brodé de pierres et de paillettes. Depuis ce temps, mais surtout depuis les années 1990, cette danse connait un essor fulgurant partout dans le monde. En France, Sandra de Nice est une des premières à avoir codifié la danse orientale sous forme de répertoires.
Contrairement à ce que l'on peut penser, la danse orientale ne se limite pas à des mouvements du bassin. En effet, elle sollicite souplesse et tonicité du buste, des épaules, des bras, des mains, du bassin et du ventre. Elle permet de tonifier les cuisses, d'assouplir les articulations, de bien développer les abdominaux et d'entretenir le dos. Certains mouvements amples demandent une souplesse extrême du dos mais l'essentiel réside dans la contraction musculaire, si bien qu'on peut pratiquer cette danse à tout âge en fonction des limites de chaque danseuse La danse orientale ( le terme danse du ventre est réducteur car en réalité tout le corps travaille ) ou baladi ( terme utilisé chez les canadiens-français ) est une danse originaire du Moyen-Orient et des pays arabes, dansée essentiellement par des femmes, mais aussi, de plus en plus dansée par des hommes à travers le monde.
En arabe, elle est appelée Raqs al sharqi ( littéralement :danse orientale ) et en turc Oryantal dansı, qui a donné le terme de danse orientale. Elle est reconnue comme l'une des plus anciennes danses du monde surtout dans les pays du Moyen-Orient ( Liban , Égypte , Turquie , Syrie, Irak ) et du Maghreb ( Tunisie, Maroc, Algérie )